Livres, plaquettes, brochures, catalogues ou flyers…
Je reste persuadé que le papier perdurera, même au delà de la suprématie du numérique.
Car cet objet permettra de « premiumiser » la parole de l’annonceur vers son client. Renforçant ainsi l’engagement de celui-ci vis-à-vis de la marque, de l’annonceur, qui lui porte un intérêt.
Non, le papier n’est pas mort, mais les solutions pour le rendre « interactif » restent a trouver.